Chronique
Y & C - GIMME THE SOUND / Why not 2008
Yann Armellino nous revient 4 ans après un très bon Croos-road, pour nous proposer un nouveau projet avec son ami Chris Caron. Un duo guitare chant sous le signe du rock du vrai qui file l’eau à la bouche.
Une intro chantée avec « Gimme the sound ». On retrouve d’entrée la patte Armellino, ce touché unique ainsi que la voix de Chris plutôt haut perchée et aiguë.
« High above the unknow places » débute les hostilités dans une veine rock, un peu entre Van Halen et Extreme. Le duo fonctionne à merveille même si je trouve que la voix manque de couilles et de variations. Pour la guitare c’est du grand art, un mélange unique de feeling et de technique. Un bon titre un peu répétitif à force. Un peu d’acoustique entame « Time is running out ». Une semi ballade intéressante, au refrain plus rock. Sympa mais pas indispensable.
Place à une instrumentale où la guitare est reine : « After the tour » voit le très grand Patrick Rondat donner le change avec Yann. Un bon rock décapant au passage de 6 cordes monstrueux. « I Remember yesterday » continue dans une veine ballade rock Us. Un moment plus doux toujours bien exécuté. La voix de Chris est plus convaincante ici. Alors là attention avis de tempête avec « It’s a nightmare every morning ». Un rock décapant où Chris plus hargneux est donc plus en phase. Encore une fois Yann est extraordinaire à la guitare avec un putain de bon solo.
Un petit moment de calme pour « I just wish i could home ». Une autre ballade rock, où malheureusement la voix ne m’emballe pas dès le début, mais s’arrange lors du refrain (bien sympa d’ailleurs). Un titre finalement bien agréable qui se laisse écouter sans forcer. « Armorik’n roll » voit l’arrivée du très sous estimé Gildas Arzel, pour un nouvel instrumental décapant au groove digne d’un Satriani.
Encore une fois après un passage rock, c’est une ballade qui entre en jeu. « Let’s fly higher ». Rien de plus que précédemment, toujours un bon moment de très bonne musique. Re place au rock avec « S.O.S ». Encore une fois quel groove impressionnant. C’est chaud tout ça !!
« Little sister » est un titre acoustique rythmé bien cool. Un peu de fraîcheur bienvenue.
4 minutes de bonheur rondement menées.
« Oversea » est une nouvelle instrumentale où cette fois ci Yann est seul à s’exprimer. Encore une fois que du bon taf pour ce formidable gratteux !!
Je pense que là ce doit être un bonus puisque nous avons droit à « High above the unknow places » en acoustique. Déjà la version rock est bien, alors la version acoustique ne peut que confirmer les dires : Super bon.
Dernier titre avec « Isle of jura ». Une dernière instru aux consonances Satrianienne pas dégeux.
Une bonne manière de finir.
Conclusion : Vous en avez marre des groupes de semi rock à deux balles qu’on vous baratine toute la journée. Vous voulez du sincère, du bon, achetez cet album ! Yann réalise avec ce nouveau projet encore un bien bon album qui ravira les amateurs de bonne musique. Pas indispensable mais foutrement bon.
Une intro chantée avec « Gimme the sound ». On retrouve d’entrée la patte Armellino, ce touché unique ainsi que la voix de Chris plutôt haut perchée et aiguë.
« High above the unknow places » débute les hostilités dans une veine rock, un peu entre Van Halen et Extreme. Le duo fonctionne à merveille même si je trouve que la voix manque de couilles et de variations. Pour la guitare c’est du grand art, un mélange unique de feeling et de technique. Un bon titre un peu répétitif à force. Un peu d’acoustique entame « Time is running out ». Une semi ballade intéressante, au refrain plus rock. Sympa mais pas indispensable.
Place à une instrumentale où la guitare est reine : « After the tour » voit le très grand Patrick Rondat donner le change avec Yann. Un bon rock décapant au passage de 6 cordes monstrueux. « I Remember yesterday » continue dans une veine ballade rock Us. Un moment plus doux toujours bien exécuté. La voix de Chris est plus convaincante ici. Alors là attention avis de tempête avec « It’s a nightmare every morning ». Un rock décapant où Chris plus hargneux est donc plus en phase. Encore une fois Yann est extraordinaire à la guitare avec un putain de bon solo.
Un petit moment de calme pour « I just wish i could home ». Une autre ballade rock, où malheureusement la voix ne m’emballe pas dès le début, mais s’arrange lors du refrain (bien sympa d’ailleurs). Un titre finalement bien agréable qui se laisse écouter sans forcer. « Armorik’n roll » voit l’arrivée du très sous estimé Gildas Arzel, pour un nouvel instrumental décapant au groove digne d’un Satriani.
Encore une fois après un passage rock, c’est une ballade qui entre en jeu. « Let’s fly higher ». Rien de plus que précédemment, toujours un bon moment de très bonne musique. Re place au rock avec « S.O.S ». Encore une fois quel groove impressionnant. C’est chaud tout ça !!
« Little sister » est un titre acoustique rythmé bien cool. Un peu de fraîcheur bienvenue.
4 minutes de bonheur rondement menées.
« Oversea » est une nouvelle instrumentale où cette fois ci Yann est seul à s’exprimer. Encore une fois que du bon taf pour ce formidable gratteux !!
Je pense que là ce doit être un bonus puisque nous avons droit à « High above the unknow places » en acoustique. Déjà la version rock est bien, alors la version acoustique ne peut que confirmer les dires : Super bon.
Dernier titre avec « Isle of jura ». Une dernière instru aux consonances Satrianienne pas dégeux.
Une bonne manière de finir.
Conclusion : Vous en avez marre des groupes de semi rock à deux balles qu’on vous baratine toute la journée. Vous voulez du sincère, du bon, achetez cet album ! Yann réalise avec ce nouveau projet encore un bien bon album qui ravira les amateurs de bonne musique. Pas indispensable mais foutrement bon.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
Site du groupe : Site officiel de Yann Armellino
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